3 piliers pour la prospérité et l'entrepreneuriat en Suisse

Le modèle à succès suisse a contribué de manière déterminante à la prospérité de notre pays, qui reste très élevée en comparaison internationale. Ce modèle à succès est cependant sous pression : les crises et les changements géopolitiques confrontent la Suisse à de nombreux défis. La pression ne vient pas seulement de l'extérieur, mais aussi sur le plan intérieur, où l'ordre économique libéral de la Suisse est régulièrement attaqué. Il est urgent d'agir : la place économique a besoin de davantage de spécialistes formés et il est nécessaire de supprimer les processus administratifs paralysants et compliqués. Une économie ouverte comme la Suisse a en outre besoin de relations commerciales stables avec les marchés internationaux et notamment avec ses principaux partenaires commerciaux en Europe. L'objectif est que la Suisse renforce encore sa compétitivité internationale. Afin que la prospérité de la Suisse perdure, les principes libéraux-radicaux doivent prévaloir : responsabilité individuelle plutôt que tutelle étatique, incitations plutôt qu’interdictions, économie de marché plutôt qu'intervention de l'État et davantage de libre-échange pour moins de protectionnisme.

Le modèle à succès suisse a contribué de manière déterminante à la prospérité de notre pays, qui reste très élevée en comparaison internationale. Ce modèle à succès est cependant sous pression : les crises et les changements géopolitiques confrontent la Suisse à de nombreux défis. La pression ne vient pas seulement de l'extérieur, mais aussi sur le plan intérieur, où l'ordre économique libéral de la Suisse est régulièrement attaqué. Il est urgent d'agir : la place économique a besoin de davantage de spécialistes formés et il est nécessaire de supprimer les processus administratifs paralysants et compliqués. Une économie ouverte comme la Suisse a en outre besoin de relations commerciales stables avec les marchés internationaux et notamment avec ses principaux partenaires commerciaux en Europe. L'objectif est que la Suisse renforce encore sa compétitivité internationale. Afin que la prospérité de la Suisse perdure, les principes libéraux-radicaux doivent prévaloir : responsabilité individuelle plutôt que tutelle étatique, incitations plutôt qu’interdictions, économie de marché plutôt qu'intervention de l'État et davantage de libre-échange pour moins de protectionnisme.

La Suisse est une économie ouverte qui, malgré sa petite taille, fait partie des pays les plus prospères au monde. En termes de qualité de vie, de formation, d'innovation ou d'emploi, notre pays fait partie du peloton de tête. Grâce à cela, la Suisse a été – comparativement à d’autres pays – plus résistante face à la crise. L'économie suisse s'est rétablie plus rapidement après la pandémie liée au Covid-19 et a mieux résisté aux fluctuations des prix que ses voisins de la zone euro.

Obstacles de politique intérieure

Néanmoins, le modèle à succès suisse est sous pression sur le plan de la politique intérieure. De nouveaux obstacles qui réduisent à néant nos avantages concurrentiels apparaissent. La Suisse se trouve dans une véritable impasse en matière de réformes. En effet, le système fiscal peine à être réformé, tout comme le droit du travail modernisé. Les référendums et initiatives en cours qui nuisent à notre économie et à notre place économique, l’opposition croissante aux réformes financières durables ainsi qu'une véritable frénésie réglementaire compliquent la tâche et mettent en péril notre prospérité. Les défis sont donc nombreux et des réformes durables et ciblées sont nécessaires de toute urgence pour suivre le rythme des nombreux changements sociétaux et économiques.

Les évolutions internationales imposent des ajustements

La Suisse n'est pas une île. La guerre d’agression du Kremlin contre l'Ukraine, la hausse des prix de l'énergie et des denrées alimentaires, la pandémie liée au Covid-19, le changement climatique ou les problèmes de la chaîne d'approvisionnement internationale sont également ressentis dans notre pays. Ces crises multiples ont encore accentué les problèmes structurels helvétiques.

D'importants partenaires commerciaux de la Suisse sont également concernés. La récession qui est en train de se dessiner en Europe toucherait également la Suisse de plein fouet. À ces nombreuses incertitudes s'ajoute une politique isolationniste croissante de la part de partenaires commerciaux importants. La Chine et les États-Unis, par exemple, recourent de plus en plus aux droits de douane pour protéger leur marché intérieur. L'instabilité internationale reste donc élevée et la tendance à la formation de blocs s'accroît.

La stagnation des relations bilatérales avec l'Union européenne (UE) pèse également sur la Suisse, notamment en ce qui concerne les réseaux internationaux de recherche, de développement et de production. Les décisions d'investissement sont de plus en plus marquées par cette incertitude, ce qui est préjudiciable à notre place économique. Les prescriptions fiscales de l'OCDE (relatives aux prescriptions concernant l'imposition minimale) s'attaquent à un avantage important de la place économique suisse. La suppression de ces avantages fiscaux doit être compensée et des mesures doivent être prises pour garantir l'attractivité de notre place économique.

Des solutions libérales-radicales sont nécessaires

Il est urgent d'agir en matière de politique économique. Nous sommes sur le point d’affaiblir notre prospérité. Pour renverser cette tendance, une main-d'œuvre qualifiée et un marché du travail flexible, un budget national sain, une capacité d'innovation, une ouverture internationale, moins de bureaucratie, la sécurité juridique et un État fort mais svelte sont nécessaires. Le PLR a la solution pour assurer notre prospérité et garantir la compétitivité de nos entreprises.